Pourquoi est-on déprimé en janvier?
Secretaire-inc
10 janvier 2014
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Selon certaines secrétaires, c’est bizarrement au mois de janvier que toutes les tuiles vous tombent sur la tête. D’abord, il n’y a presque plus de sous dans les poches, les cartes de crédit sont gonflées. Ensuite viennent les fameuses résolutions qui tombent à l’eau, l’une après l’autre, dès la fin de la première quinzaine. Mais que se passe-t-il donc?
Janvier : mois de malchance?
Certes, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Pour certaines d’entre vous, ce retour à la routine est aussi un soulagement, les fêtes n’ont pas été de tout repos et si en plus vous avez un emploi qui vous passionne, c’est franchement le bonheur.
C’est le cas de Pamela Valliere, secrétaire-réceptionniste municipale. Pamela nous dit qu’il n’y a point de nuages gris à l’horizon au retour des vacances.
«En fait, le travail me permet d’être occupée, car il y a une surcharge de ce côté et il faut être alerte, ça ne laisse pas de place à la déprime».
Il faut dire que l’amour qu’elle voue à son travail lui facilite grandement la tâche ! Pamela fait partie de cette catégorie de personnes qui aiment se lever pour aller travailler.
Sandra Tremblay, également secrétaire, ne comprend pas les gens qui se disent affectés par le blues janvier-février.«Je crois que c'est à nous d'être positif!» Et d'ajouter : «Trop de gens s'apitoient sur leur sort juste parce qu'il n'y a pas de jours fériés durant ces mois. Peut-être si les gens se plaignaient moins, ils apprécieraient plus!»
Janvier, côté santé
Si votre moral est au plus bas, c’est sans doute à cause des multiples petits bobos. C’est la saison des rhumes, mais aussi de ses coups de fatigue qui commencent vraiment à peser.
En psychiatrie, les choses sont pareilles, le solstice d’hiver et la diminution de la longueur du jour, et donc des heures d’ensoleillement, affectent grandement l’humeur des personnes qui habitent dans l’hémisphère nord et les rendent généralement déprimés.
Et pour chasser ce vague à l’âme qui vous prend quelquefois à la gorge, rien de tel qu’un peu d’énergie positive. Justement, un des remèdes est la luminothérapie. Si vous êtes à Montréal, depuis le début de l’hiver, la place des Festivals s’est transformée en un immense champ de blé futuriste. Un spectacle féerique façonné par des milliers de tiges lumineuses qui dansent dans le vent. Ce coup de cœur luminaire va durer jusqu’au 2 février prochain.
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